Collaboration de mon médecin

Bonjour,
En 2020 lors d’une visite chez mon médecin traitant pour une suspicion de Covid, je lui ai demandé si dans le cas où je reviendrais avec un test positif, elle me prescrirait le fameux traitement Raoult.

Elle m’a expliqué que non. Que c’était compliqué … bref elle a invoqué plein d’éléments pour éviter. Et que ça serait doliprane le traitement.
C’était une fausse alerte. Mais suite à sa réaction, comprenant que je ne pouvais pas compter sur elle, j’ai récupéré à prix d’or sur un site de l’ivermectine au cas où.
Traitement que l’on a pris ma famille et moi lorsque l’on a finalement attrapé le Covid.
De manière préventive, j’avais de mon coté pris des complément de zinc et de vitamine D (de ma propre initiative en fonction des informations circulants sur le net et non suite à un conseil de mon medecin).

Bref, après ces précautions, je n’ai pas eu un Covid sévère ; juste un petit mal de tête (peut être n’est-ce pas lié à ces fameuses précautions)

Par la suite, je suis revenu à la charge pour tester la capacité de mon médecin à prendre des initiatives sur les traitements.
Elle m’a confié qu’à titre personnel en cas de Covid elle prendrait je cite « de l’Ivermectine et un autre macrolide que le l’hydroxichloroquine » une phrase du genre.

Et en ce qui me concernait, elle ne pouvait pas me prescrire ce genre de traitement étant donné qu’elle était conventionnée.
Dans ma tête, j’ai décrypté « Je vais pour moi et les miens utiliser un traitement reconnu que j’estime efficace mais je ne tiens pas à prendre de risque auprès de ma hiérarchie pour un de mes patients » J’ai gardé le sourire mais ça m’a quand même rappelé des heures sombres du passé.

D’une manière générale je conclus que si nous n’arrivons pas à nous unir et à faire bloc contre les directives insensées du ministère de la santé, ça risque de déraper.

Autre chose, lorsque le manque de bon sens ou l’intérêt conduit à obliger les personnes à subir des traitements injustes contre leur propre volonté, la violence n’est jamais très loin.

Personnellement, je fonctionne avec des principes et je me suis déjà donné des lignes de conduite proportionnées aux évènements qui pourraient arriver dans le futur.
Par exemple, mon fils à 3,5 ans et je ne souhaite pas qu’il soit injecté avec les produits du type Pfizer. Si on devait passer outre mon choix personnel que je fais en toute conscience pour le bien de mon fils et s’il devait arriver un malheur et bien ce sera dans sa chair que le coupable paiera.

La résistance a toujours un prix et oui, il y a une violence légitime.
Alors à chacun de prendre ses responsabilités.

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