Un pharmacien bien intentionné m’a dénoncé à l’ARS pour prescription d’Ivermectine dans le cadre de la COVID. Le CDO m’a signifié « l’interdiction de prescrire de l’Ivermectine hors AMM dans le cadre de la COVID 19 en France et l’aggravation de mon cas du fait que je suis universitaire et que je risque de transmettre la « mauvaise parole » aux étudiants en MG. J’ai une avocate commise par ma RCP, nous en sommes à la rédaction du mémoire pour un « jugement » en octobre/novembre. A suivre…
Bonjour, je réitère parce que je crois avoir fait une fausse manoeuvre lors de mon premier envoi.
Merci pour votre honnêteté et votre engagement héroïque.
Non-vaccinée,j’ai été positive au covid fin avril 2022 suite au covid de mon fils, vacciné. Je me suis rendue dans un grand hôpital du sud de le France et soignée avec ivermectine, azithromycine, anticoagulants du fait de mes antécédents de thrombose, et surveillance avec un oxymètre. A l’apparition de petits boutons, ayant des antécédents d’oedème de Quincke, je me suis rendue à la maison médicale, le premier hôpital étant fermé. Le jeune médecin qui m’a reçue -certainement vaccinolâtre- m’a conseillé d’arrêter ce traitement; je n’ai pas suivi ses conseils mais j’ai pris tout de même l’antihistaminique prescrit. Je note que la pharmacienne m’a conseillé de ne pas arrêter le traitement de l’hôpital, au risque de rendre le virus encore plus virulent. Et le personnel soignant du laboratoire auprès de qui j’ai fait le test de contrôle, m’a dit que j’avais fait le bon choix.
Personnellement j’ai contacté maître GUYON à Montpellier qui traite déjà plusieurs cas du même type.
je soutiens tous les médecins qui ont prescris alors que d’autres ont prescrit du doliprane
Bravo à vous tenez bon et merci