Le Serment d’Hippocrate est à la base de l’Art médical. S’il n’est pas respecté, il n’est plus qu’un « serment d’hypocrite ».
Le devoir de l’état est de protéger l’indépendance des médecins et non d’interférer dans leur liberté de prescrire.
Sinon, l’état devient inquisiteur, se mue en tyran, et transforme la médecine en officine de mort, et c’est ce que nous observons présentement.
Lorsque j’ai compris cela, il y a bientôt quarante ans, j’ai, pour l’essentiel, cessé de fréquenter la médecine. A deux reprises, depuis un an, en fréquentant des injectés, j’ai contracté une affection genre bronchite (avec toux, nez qui coule, irritations de la gorge, etc.). J’ai remarqué que ce n’est pas le « covid » ou le « sars-cov2 » qui m’a rendu malade, mais uniquement la fréquentation des injectés!
Là où il faut « rire », c’est que, selon le discours officiel, les non injectés seraient une menace pour les injectés (censés être « protégés » par le soi-disant « vaccin »). La réalité, c’est que c’est exactement l’inverse!: Les injectés sont une menace pour eux-mêmes et pour les non injectés! Comme souvent, prenez une affirmation officielle, inversez-la et vous aurez la vérité!
Les deux fois, je me suis soigné tout seul avec des compléments alimentaires: vitamine C, vitamine D, zinc, glutathion, etc., et la guérison est intervenue en quelques semaines…
Qui de sensé peut encore avoir envie d’aller voir un médecin, s’il croit que celui-ci va commencer par lui demander de s’injecter avec un produit expérimental, largement inefficace, réalisé à base de cellules de bébés avortés, contenant des nano-technologies, des parasites (hydra vulgaris), du graphène, susceptible de modifier son ADN, de lui causer de graves complications, ou même de l’envoyer au cimetière (voir statistiques officielles Eudravigilance et VAERS)?
Sans même parler des femmes enceintes à qui des médecins criminels disent de s’injecter un produit susceptible, au cours des deux premiers mois de grossesse, de provoquer des fausses couches (mort du fœtus) à 80%!!!
Cette médecine de mort au sujet de laquelle Marc Menant a écrit « La médecine nous tue », nous n’en voulons pas! La médecine ne retrouvera ses lettres de noblesse que lorsqu’elle aura renoué avec la plus pure tradition hippocratique, en totale liberté de prescription, sans aucune interférence extérieure – politicienne ou administrative – d’aucune sorte!
C’est dire si le combat des médecins qui luttent pour leur liberté de soigner est important! Je les soutiens à fond!