Je veux seulement témoigner de ce qui se passe autour de moi.
J’ai refusé l’injection et suite à cela, j’ai fréquenté d’autres récalcitrants, tandis que les obéissants se détournaient de moi.
Ce fut un gros choc psychologique, ça l’est encore.
Par ailleurs, j’ai aidé autour de moi ceux qui se trouvaient atteints du covid, injectés ou non en utilisant les prescriptions conseillées sur internet par le professeur Raoult, le professeur Péronne mais aussi ces médecins qui ont dit au début ce qu’ils faisaient : en 2020, avant de se taire définitivement, suite à des rappels à l’ordre, comme le docteur Paliard-Franco.
J’ai fait venir les médications par internet, d’Inde ou du Canada et j’ai soigné des covidés avec succès.
Je pense que tout cela était sans doute illégal mais quand je voyais mes proches n’avoir accès à rien que du doliprane, que faire d’autre que de se prendre en main tout seul ? Depuis, les médecins rebelles s’organisent et je n’ai plus rien à faire : il y a des sites qui permettent des les rencontrer.
Il me reste de tout ça une amertume immense et une immense méfiance envers le corps médical. J’en suis venue à ne plus vouloir recourir à ce corps médical qui s’est révélé docile et cruel en majorité. je suis par exemple décidée à ne plus jamais retourner dans un hôpital ou une clinique, même si j’ai un cancer.
Je me laisserai mourir, voilà tout. Il faudrait que je me casse en mille fractures pour y aller quand même.
Pour le reste, j’apprends désormais les plantes et je me soigne toute seule avec ces plantes que je récolte : je suis en train de devenir herboriste en accéléré, pour mon usage personnel. Et le plus étonnant dans cette histoire c’est que avant le covid j’avais une assez grave bronchite fébrile tous les ans et une gastro : un de chaque par an, comme des maladies chroniques auxquels je me résignais. : je n’ai plus rien. Je ne me suis jamais mieux portée que depuis que je ne vois plus les médecins.
J’ai appris les plantes, les dosages de vitamines, la prophylaxie et ça marche incroyablement.
J’en déduis que la médecine française est merdique, mal enseignée, fermée à tout ce qui n’est pas les cachetons chimiques fourgués par les labos et que je suis bien contente de ne plus en dépendre.