Lors d’un renouvellement d’ordonnance auprès du Dr *** , médecin généraliste, celle-ci me demande quel est mon statut vaccinal covid. Je réponds qu’il est nul : je ne me soumettrai pas à cette injection , puisqu’il s’agit d’expérimentation.
Elle me signifie avec autorité comme si j’étais quelqu’un d’irresponsable, la « nécessité de me faire vacciner », sans autre argument que la « dangerosité du virus ».
Aucune discussion possible, aucun commentaire sur le fait que ces vaccins sont en phase de test… Nous nous quittons en froid. Je suis bouleversée d’avoir été confrontée à cette injonction inhumaine.
Quelques mois plus tard, je chope le covid. Je me renseigne auprès d’amies qui l’ont eu et sont passées par ce même médecin, elles me disent que cette dame leur a prescrit du Doliprane, et qu’elles ont traîné ce covid durant des semaines.
Je comprends que je ne pourrai pas me faire soigner décemment. Je décide de faire appel à un médecin qui s’est prononcé publiquement contre l’injonction vaccinale. Je sais qu’il a déjà des ennuis par l’Ordre des Médecins mais je tente quand même parce-que je suis très mal.
Sans hésitation, et parce-que je suis alitée chez moi, il me prescrit Ivermectine et Azithromycine.
En quelques jours je suis guérie. Je tiens à exprimer ici toute mon estime et ma gratitude pour tous les médecins qui tiennent bon et continuent courageusement à nous soigner.