Ultra Consommation de Doliprane

Le 9 décembre, après quelques symptômes légers, j’ai été testée positive au Covid; mon médecin généraliste m’a donnée du doliprane et un antibiotique pour les poumons.

J’ai pris… tout allait de pire en pire. J’ai pris beaucoup de doliprane, parce que les douleurs étaient vraiment très fortes et la fièvre ne faisait qu’empirer.
Une semaine après j’ai eu un pic de fièvre avec apparemment la formation d’un calcul rénal.
Appel au 15, mais le 15 s’en fout: « prenez du doliprane » … j’ai pris encore !
Mais à 3h du matin mon mari a décidé de m’emmener lui même aux urgences.
… On m’a donné du doliprane … en intra veineuse; du coup j’ai été mieux pendant quelques heures; alors à 10h le matin ils m’ont foutu dehors.

Et ça a recommencé à la maison. Çà devenait insupportable, un sentiment de perdition… car mon mari développait également les symptômes du covid… c’était très fort pour lui avec un impact sur la partie respiratoire.
On ne pouvait même plus s’entre-aider et nous n’avons pas de famille aux alentours.

Par miracle, par amies interposées, j’ai pu avoir une consultation par téléphone avec un médecin qui nous a prescrits de l’ivermectine et le l’azithromycine; je sais que ce médecin a pris des risques et je le remercie infiniment pour son courage.

Nous nous sommes trainés dans une pharmacie et par miracle nous sommes tombés tout de suite sur un pharmacien, digne de ce nom, qui a tout mis en oeuvre pour que nous puissions obtenir ce traitement.
Et nous avons senti le changement immédiatement.
Cependant, nous en étions à 12 jours de covid, dont 8 avec des symptômes très forts; alors la rentée a été longue, très longue.

Par miracle encore une fois nous avons pu nous entretenir avec un spécialiste de l’ayurvéda et nous avons complémenté avec des plantes pour un rétablissement plus profond.

En mars je n’étais pas rétablie… je suis partie 3 semaines dans un hôpital en Inde pour continuer à recevoir des soins.
Aujourd’hui ( mi juillet) je peux dire que j’ai récupéré presque totalement.
Mais je sais que si j’avais été traitée à temps, avec les traitements adaptés, je n’aurais pas été si malade.
A l’heure d’aujourd’hui, si j’ai une maladie grave, et si je peux, j’irais me faire soigner ailleurs, hors de nos frontières !
Et pourtant…
Je crois en notre médecine occidentale car j’ai déjà rencontré de très bons médecins.
Je vous soutiens, vous soignants, qui souhaitent défendre et libérer votre savoir; et je sais que vous êtes nombreux à vouloir honorer votre médecine, au sens noble du terme.
Alors je continue de croire qu’un jour vous pourrez exprimer votre vrai talent !

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