En janvier dernier, j’ai attrapé la covid comme de nombreux français (courbatures et frissons comme symptômes), n’étant pas vacciné (je n’ai pas de comorbidité c’est un choix que j’assume et ne regrette pas) mon médecin référent m’a clairement fait comprendre qu’il ne souhaitait pas me soigner. J’ai donc fait appel à un des médecins sur la liste des praticiens ayant signé la charte sur la liberté de prescrire (dont je tairer le nom pour lui éviter des ennuis)
Il m’a reçu et m’a prescrit du zinc, de la vitamine D, de l’ivermectine. En moins de deux jours j’étais complètement remis et plus aucun symptôme.
Maintenant je suis conscient qu’il s’agissait d’omicron dont la virulence était moindre que les variants précédents, que sans ce traitement j’aurais sûrement guéri de la covid.
Mais j’ai constaté que 24h après ma première dose d’ivermectine je n’avais quasiment plus aucune courbature et 48h plus aucun symptôme du tout et que depuis je n’ai connu aucun problème de covid long.
Nombre de personnes vaccinés autour de moi ont eu un rétablissement plus long et problématique à la même période.
Je n’ai donc aucun regret d’avoir fait ce choix.
Je respecte le choix des personnes qui se sont vaccinées, mais je regrette amèrement la vie de paria que j’ai connue durant cette période et surtout le fait que l’on ait eu « envie de m’emmerder ».
Je pense que si l’on avait laissé aux médecins de famille la liberté de prescrire au lieu de laisser leurs patients chez eux avec du doliprane jusqu’à l’hospitalisation, cette épidémie n’aurait pas fait autant de morts.
Ce n’est que mon avis et je ne prétend pas détenir la vérité mais si je devais revivre ces événements, je referais exactement la même chose…